vendredi 25 février 2011

Mes débuts en surf

Oulà, bientôt trois semaines de retard… mes souvenirs commencent à être flous ! Pour ma défense, les voyages en van ne sont pas très propices à l’écriture entre le manque de connexions internet et de prises de courant.

Néanmoins, je me rappelle très bien que le samedi 5 février 2011, j’ai pris ma première leçon de surf ! Nous étions à Wallaga lake, sur la côte sud du New South Wales. Un coin vraiment très joli. A 10h, mon prof (particulier) est arrivé avec une planche absolument immense, on enfile (avec une certaine difficulté) la combinaison intégrale. Ah ? il faut que je change de combi ? On recommence… A la fin de l’habillage, j’ai déjà l’impression d’avoir fait mon sport pour la journée. Seulement, je ne savais pas encore ce qui m’attendais.

Nous sommes donc au bord du wallaga lake, or au bord d’un lac, il est difficile de surfer… La première étape est donc de « ramer » (avec les bras, allonger sur sa planche) jusqu’à la sortie du lac, passer (toujours en ramant) les courants qui s’y engoufre forcément, contourner les rochers où les vagues se fracassent pour enfin arriver dans une crique isolée. Bon, ok les vagues ici sont sympas, mais mes épaules ne sont plus très en forme. Alors petit cours rapide sur la plage, le point principal : le take-off. On rame, on rame, on rame plus vite, on pose ses bras de chaque côté de sa poitrine, et hop impulsion, un pied devant, un pied derrière, ça y est, on surf. Ok, j’ai bien compris la théorie.

Et maintenant... on rame bien sûr pour rejoindre le point où il faut "catcher la vague". Arrivé à ce point on se repose, assis sur sa planche, et on attend. Une vague arrive, je me retourne laborieusement, je commence à ramer, mon prof me pousse... ça va vite, mais c'est stable, je pose un pied, puis l'autre, je me leve tout doucement... trop facile le surf! Mais... heu... où sont les freins? Parce que là, il y a des rochers en face qui avancent très vite... Plouf dans l'eau. Et après? On rame!

Au final, j'ai réussi 3 ou 4 take-off, dont un sans aide. Puis plus rien, j'étais morte au retour.

Bon pour les sceptiques, je dois avouer que j'avais un swell (planche en mousse) de 10 pieds (très grande) donc très stable, et que les vagues étaient toutes mignonnes, donc des conditions idéales pour débuter.

A refaire...

mercredi 16 février 2011

Life in the van & Canberra

La nuit fût un peu agitée. Dans un van, il fait chaud ! Et il n’y a pas de place ! Je me suis donc réveillée en panique, petite crise de claustrophobie, un peu d’eau, un peu d’air « frais », on se calme, on respire et on s’imagine dans un espace ouvert… Puis, après un petit dej entre wallabis et loriquets (les perruches multicolores – Merci juliette ;p), sous un temps superbe, face à une plage magnifique (ok ok j’arrête), nous avons repris la route.

Le plan d’origine était de dormir près de batemans bay afin de partir le lendemain pour Canberra. Seulement, le temps s’est dit qu’il nous avait un peu trop gâtées jusque là. Alors, sous la pluie dansle van… il n’y a pas grand-chose à faire. Nous avons donc décidé de nous enfoncer dès ce moment dans les terres en direction de la capitale. Il atout d’abord fallu traverser la barre montagneuse qui longe toute la côte est de l’australie, sous la pluie et le brouillard, sur une autoroute à deux voies, dans un van qui n’aime pas trop les côtes. Nous sommes donc arrivées dans l’arrière pays du New South Wales, des plaines, des champs, du bétails, des collines, des peupliers , un ciel entre soleil et orage, très beau.

Mais déjà la nuit tombe. Où allons nous dormir au milieu de ce désert humain ? Une aire d’autoroute ? Bon, et bien ça semble l’unique solution, hop on bifurque. Et là, nous arrivons dans un champ ombragé où une dizaine de vans et caravans on l’air déjà bien installés. Incroyable, que font-ils ici ? Installation, essai de notre camping gaz, super, ça marche ! En avant les noodles ! Alors que l’on regardait un film bien au chaud dans notre maison, l’orage éclate, whouaa… heu ce n’est pas très rassurant d’être aumilieu de nulle part, dans un van secoué par le vent, les éclairs déchirant le ciel et faisant trembler le sol tout autour de nous.

Le matin, pas de douche, pas de lavabo, pas de toilettes, on file vers la banlieue de Canberra pour utiliser les toilettes d’un macdonald, au moins, on peut se laver les dents… Puis visite, au programme : musées et promenades. Canberra, c’est… vide, grand. Voilà, c’est tout. C’est en fait une ville construite autour du parlement, un bâtiment immense, entouré d’un parc immense, surmonté d’une « antenne » tout aussi immense. Dans son prolongement exact, 1 km plus loin, on trouve l’ancien parlement, puisdans le prolongement de celui-ci, 5km plus loin (sans qu’il n’y ai rien entre les deux a part une avenue) on trouve le musée de la guerre.

Rotondes gigantesques, parcs démeusurés, lac immobile, rien ne bouge sous le soleil de plomb qui brille sur cette ville de fonctionnaires. On se rend à l’australian national musuem, tout neuf, très comptemporain, surplombant le lac. L’architecture du musée en elle-même vaut le coup d’œil. Le musée lui aussi est très bon, c’est la première activité culturelleque je consens à faire depuisque je suis ici et j’en suis vraiment contente. On apprendplein de chose sur l’histoire de l’australie, la faune, les aborigènes, la culture actuelle…

Puis, avec le van (impossible de sedéplacer à pied dans cette ville), nous rejoingnons le centre ville, espérant découvrir un endroit sympa pour déjeuner. Surprise, l’animation se concentre sur 3-4 rues qui se remplissent à midi. On trouve un petit café, enfin un peu de bruit et d’agitation, ça fait du bien ! Puis nous allons visiter le war memorial, tout aussi intéressant que lepremier et nous finissons par la visite du parlement. En face de celui-ci se trouve la « tente abo » : cabane en bois rudimentaire avec écrit « aboriginal parliament » (parlement aborigène). Le contraste entre cette cabane de bidonville et la masse du bâtiment du parlement est saisissant. Elle a été mise en place lors d’une manifestation, représentant le poids des voies aborigènes en Australie.

Enfin, nous rejoignons Zoé, que j’avais rencontré à Sydney, pour un dernier verre dansle « centre ». Et hop nous repartons vers notre aire d’autoroute. Pas de douche, pas de lavabo, pas de toilettes.

samedi 12 février 2011

On Melbourne's road... 1st day

Nous en étions donc à lundi 31 janvier où je retrouvais Marion pour un aller simple pour Melbourne. Quelques mots sur Marion : j’ai en fait posté une annonce sur Gumtree (ce site où l’on trouve tout) expliquant que je cherchais quelqu’un avec un van pour faire le voyage Sydney Melbourne en profitant de la côte. Marion, française, 25 ans, de bordeaux, m’a répondu. Echange de quelques e-mail, profil facebook, bon elle m’a l’air normale ;), c’est ok !

Me voilà donc dévalant Bondi road lundi soir, avec talons (ce qui prend le plus de place) et sac de 17kg sur le dos, en équilibre instable. Je rencontre Marion qui est tout de suite très sympa, me dit de faire comme chez moi dans son van, la kiravelle de son petit nom. La kiravelle est un van Nissan de 92, rideaux fleuris et colorés aux fenêtres, un matelas occupe la majeure partie de l’espace, une planche de surf empiète sur ce matelas, sous ce matelas un amoncellement de valises, chaises de camping et autre matériel, à l’arrière, le garde-manger (comprenant nutella ET beurre de cacahuète) et à l’avant : atlas, ipod, enceintes, vahiné se déhanchant avec les mouvements du véhicule, collier de fleurs et de coquillages.

Et c’est parti pour 10 jours de road trip !Première étape, sortir de Sydney, traverser le royal national park au coucher du soleil (=magnifique !) et se retrouver sur aire de repos en pleine nuit qui semble être au bord d’une falaise. Repas frugal : pain, thon, tomates, concombre (+ petit caramel d’isigny envoyé par mes petites sœurs chéries) et hop dodo à 10h. Lendemain matin, whouaa, la vue est magnifique, la falaise surplombe la côté et l’océan. On prend son petit déjeuner au soleil devant ce spectacle. Et en route again.

Nous nous dirigeons vers Jervis bay « magnifique bande littoral où se succèdent plages de sable blanc, bush et forêt » (dixit le lonelyplanet), et c’est vrai, c’est magnifique. On profite de l’après-midi ensoleillée pour se faire dorer au soleil… ou plutôt sous le parasol pour éviter de passer do dorées au grillées ! Derrière la plage, on se retrouve dans la forêt avec tables, barbecue, et sanitaires aménagés pour les backpackers. On attrape nos appareils photos pour immortaliser la centaine de perroquets multicolores se pressant autour de nous. Pas du tout farouches, ils viennent se poser sur toi pour une miette de pain. Alors qu’on s’extasie sur ces jolies bêtes, je lève la tête, et là, à 5m de nous, un wallabi nous regarde tranquillement. Et puis un autre, et puis un autre… L’appareil encore chaud, nous nous rendons sur une (autre) plage (paradisiaque) pour observer le coucher de soleil sur la mer, quelques pêcheurs locaux nous font la conversation, une raie d’un mètre d’envergure vient également nous dire bonjour. Retour au van, il fait faim, et il fait nuit. Oula, toutes seules, au milieu de la forêt et de ses bruits inconnus, nous ne sommes plus très fières lorsqu’il s’agit de se rendre avec notre lanterne jusqu’au barbecue pour se faire des noodles avec un œuf (quel festin ce soir !). Tout du moins, nous avons tenté de faire cuire tout ça, mais le barbecue n’en faisait qu’à sa tete, et au bout d’une demi-heure sur sa poele, nous nous sommes résolues à manger un œuf bien trop liquide.

Et voilà une première journée de passer, là c'est sûr, je suis en plein wild.

mardi 8 février 2011

Australia Day

Avant de passer au road trip, une petite régression vers le 26 janvier : Australia Day !

La fête nationale devient de plus en plus populaire en Australie, surtout chez les jeunes qui y voient une bonne raison supplémentaires de faire la fête. Pour moi, il fut tout à fait… insolite.

La journée s’annonçait extrêmement chaude avec 41° à l’ombre. Nicky et moi sommes donc parties tôt pour changer les vaches de champs.Le premier troupeau, très conciliant, passe sans problème de l’autre côté de la clôture, il est 8h du matin, il fait déjà chaud mais le travail s’annonce rapide. Contentes de nous, nous nous dirigeons donc à bord de la vielle Sue vers le deuxième troupeau, quand les chiens se mettent à aboyer derrière nous. Au pied d’un arbre, une forme noire. Un veau est à l’agonie, il a du manquer la précédente migration et n’a pas eu a boire et à manger durant plusieurs jours. On rentre rapidement chercher vitamines et peniciline, on lui porte del’eau,mais il n’a plus la force de lutter et se laisse mourir. Il n’y a plus rien à faire. On continue notre travail. Les vaches bougent lentement. On fait le tour des champs voisins pour vérifier que tous le monde est passé. Je meure déjà de soif.Evidement une dizaine d’ado insolente ont préféré faire le mur et se cachent dansla crique. C’est reparti pour une marche de 30min sous la fournaise. Sur le chemin du retour, nous trouvons une cloture cassée, il est 10h30, j’ai l’impression de me déssecher. Une cloture cassée signifie des vaches qui peuvent s’échapper et donc des veau sans nourriture, impossible donc de laisser passer cela. Chacunes avec nos paires de pinces, puisque la cloture est electrifiée, nous tentons tant bien que mal à rassembler les deux bouts et faire un semblant de nœud. Enfin fini ! Nous passons la rivière en vue de la maison quand Nicky a un doute. Cinquante mètres plus loin, dans loin, un veau est à la dérive, mort évidement. Il était aveugle et a du tombé dans la crique. Nous voilà donc obligées de trainer ce veau déjà en décomposition sur la rive pour éviter la pollution du cours d’eau. 11h30, enfin, je bois !

La première partie de la journée fut donc plutôt éprouvante. Mais, pas le temps de ruminer, une douche, une tenue correcte (quel bonheur d’enfiler une petite robe et mes sandalettes !) et en route pour les festivités d’australia day à warrah creek (Warrah creek, maximum 300hab dispersés dans les collines). A 13h, rien ne bouge, tout le monde est assis sous une tente à essayer de capter la moindre petite brise et économiser ses mouvements. On décide d’aller déjeuner dans une ville des environs Merrimbula (ou un truc de ce genre la…). Pub climatisé, enfin on respire. Un petit tour au charché d’à côté et on retourne à Warrah Creek.

15h, ah, toutle monde commence à s’activer. On prépare à manger, à boire, on attend l’arriver de « l’ambassadeur » pour son speech. Nicky discute avec une organisatrice, me présente, et me voilà faisant partie du programme de la journée : je dois moi aussi faire un speech devant tout le village… Heu… ok… « Bonjour everyone », réponse de toute l’assistance en cœur « Bonjour ! » 60 secondes de blabla, et hop j’ai tout le monde dans la poche (C’est Nicky qui le dit !) ;p . Et voilà, c’est parti pour les festivités : tir de ballon de rugby, lancer de bottes en caoutchoux, tir à la corde, autres jeux de ballons, le tout arrosé de bière, de « champagne » et de toasts à la betterave (si si c’est pas mauvais). Tout le monde se prete aux jeux avec bonne humeur. Bien sûr, Je suis la frenchie à qui tout le monde veut faire la bise. Je copine avec les femmes les plus jeunes, et un petit australien d’une vingtaine d’année à l’air de me trouver à son gout. Bon, désolée de vous dire ça, mais les australiens de Warrah creek considèrent maintenant les français comme de très mauvais lanceurs de bottes en caoutchoux, en dépit de ça, j’ai passé une après-midi excellente !

Finito, voilà un exemple de journée bien remplie dans la campagne du New South Wales.

samedi 5 février 2011

2ème semaine de wwoofing dans le NSW

Et oui, finalement j’ai décidé de rester une deuxième semaine chez Craig et Nicky. Craig part à Sydney juq’au vendredi et Nicky aurait bien besoin d’aide. De toute façon, je me sens très bien dans cet endroit. Le lieux est joli, je fais des choses totallement inhabituelles et les hôtes sont gentils, cultivés et adorent la France.

(Là je vous avoue que j’écris cet article avec une semaine de retard, je ne me souviens donc pas exactement de tout, mais je qu’entre autre il a y eu : )

- Quelques bières partagées avec Nicky sous la véranda à regarder l’oragesur les plaines
- Quelques séances de jardinage supplémentaires où j’ai sué sang et eaux
- Un soufflé au fromage (made by Laura) très réussi
- Des vaches qui n’en faisaient qu’à leur tête
- Plein de kangourous sauvages
- Une frayeur en 4*4 au bord d’un ravin
- Une thèse enfin finie
- Quelques courses poursuites après des moutons ou un veau fuyards
- …sans doute plein d’autres choses que j’oublie de préciser mais qui ont fait que j’ai adoré cette expérience.

Je me souviens tout de même parfaitement du dernier week-end. Zoé, la fille de Nicky est arrivée de Sydney. Pour fêter cela, nous avons fait une pavlova, dessert australien que je qualifierais de parfaitement honteux : une base moitié meringue au chocolat – moitié fondant au chocolat, recouverte de crème fouettée, recouvertes de fraises… Accompagnée d’une coupe de champagne (australien aussi pour le coup) cela va sans dire.

Le lendemain, séance d’équitation. Cela faisait approximativement 15 ans que je n’avais pas remis mes fesses sur une selle. Quelques osuvenirs reviennent : les talons vers le sol, assis-debout, dos droit… C’est assez drôle… Jusqu'à ce que je me souvienne d’autre chose… La douleur ! Au bout d’une heure au pas dans les champs, à serrer les cuisses dans les escarpements, la totalité de mes jambes crie à l’agonie. C’est alors que Craig m’annonce « bon, ca fait 1,maintenant on va rassembler les vaches de ce champs là, puis celui-la… » heu… comment dire… j’adore le cheval hein, qu’on ne se méprenne pas… mais là STOP ! Le reste du weekend fut comme à l’image de ces 2 semaines, marche dans les champs, bon repas et bonne humeur. Les au revoirs étaient assez émouvants.

J’ai donc fait Willow Tree –Sydney dans la voiture de Zoé. En passant par des coins magnifiques tel quela hunter valley. Et Zoé m’a preté son apart pour la nuit et le lendemain, juste le temps pour moi de me reposer, régler quelque détails avec les Irvins, acheter un nouvel appareil photo (oui le mien est définitivement out, mais le nouveau est ultratop… enfin je crois), et hop en route pour Melbourne à bord du van de Marion… Mais ça, ce sera le sujet d’un autre post !

Beers at the lake

Premièrement je voulais ajouter une information capitale que j’ai oublié de citer dans le post précédent : J’ai vu mes premiers kangourous ! Trop mignons, on conduisaient dans les champs à la recherche de vaches égarées quand deux petits kangourous ont sautés de derrière un arbre, sont passés à 10m de nous et se sont enfuis en bondissant.

Donc, reprenons à vendredi soir. Après une douche, vraiment nécessaire,Jeremy, le fils des « voisins » est venu me chercher.Direction Quirindi chez deux amis à lui Sam et Sally. Quelques bières sur la terrasse puis direction le pub de la « ville ». Quelques bières supplémentaires. Là il est temps que je vous parle de l’accent du bush. Je n’ai aucun mal à comprendre Nicky qui a grandi a Sydney, pour Craig j’ai eu quelques problème au début, mais il fait attention à ne pas me parler trop vite. Mais alors, essayez donc de comprendre une bande de jeunes, employant un vocabulaire que je ne connais pas, utilisant des expressions très australiennes, avec un accent trainant, qui n’articulent pas… Et je vous assure que les choses se compliquent d’autant plus que leur taux d’alcoolémie grimpe. Enfin, si vous diminuez de quelques bières ma propre capacité de concentration, vous aurez une idée de mon niveau de compréhension de cette soirée. J’ai été impressionnéepar la quantité d’alcool qu’ils ont ingéré dans la soirée, et pourtant, j’ai connu certains phénomènes… Environ 20 à 30 verres, soit à 5$ le verre, 150$ la soirée.

Heureusement,le lendemain, une journée plus saine « sport, sun & water » s’annonçait. Nous sommes partis avec le bateau accroché au « ut » pour le lake du coin. Installation grand luxe avec tente par-soleil, chaises longues et porte-gobelet… de bière… arghh, non sur ce coup là, la frenchie ne suit pas, désolée. Par contre quand il s’agit de sortir le bateau pour essayer le knee-boarding, oui, je suis la première à enfiler le gilet de sauvetage. Et bien, contre toutes attentes, je ne me débrouille pas trop mal. On démarre allongée, le bateau démarre, on serre les coudes, on pousse dessus en serrant les abdos et on fait glisser ses genoux sur la planche, c’est parti !

Encore une petite soirée,plus tranquille cette fois, au pub du coin et retour chez Sam et Sally pour regarder : inbetweeners, série anglaise assez désopilante.
Dimanche midi, il est temps d’aller retrouver les vaches.